mélusine reloaded

Dans ce roman, à la fois fable féministe, dystopie écologique et conte futuriste, Laure Gauthier réinvente la légende de Mélusine pour dresser, avec humour et profondeur, un miroir déformant de notre monde tout en esquissant un autre chemin possible.

En librairie le 22 août 2024
ISBN : 9782714313201

Editions José CORTI.

Prix du Premier Roman Français

Le jury du prix du Premier roman 2024 a récompensé, dans la catégorie « roman français », Laure Gauthier pour « mélusine reloaded » paru aux Editions Corti.

Le jury présidé par Charles Dantzig est composé de Pauline Dreyfus, Jean-Claude Lamy, Gilles Pudlowski, Jean-Pierre Tison, Maud Ventura et Annick Geille, présidente d’honneur.

Laure Gautier, lauréate du prix du premier roman français 2024

« mélusine reloaded » est en deuxième sélection du prix du Premier roman français :
14 octobre 2024 : https://actualitte.com/article/119806/prix-litteraires/les-deuxiemes-selections-des-prix-du-roman-francais-et-du-roman-etranger-2024

Le jury du prix du premier roman français s’est réuni à la Coupole pour désigner une première sélection de titres. Parmi les auteurs retenus, Laure Gauthier figure dans les sélections des prix Décembre et Médicis pour Mélusine reloaded (Corti).

Voir : https://www.livreshebdo.fr/article/la-premiere-selection-du-prix-medicis-2024

 

 

PRIX MEDICIS 2024

18 septembre 2024 : « mélusine reloaded » figure dans la première sélection du prix Médicis :
Voir : https://www.livreshebdo.fr/article/la-premiere-selection-du-prix-medicis-2024

PRIX WEPLER 2024

9 septembre 2024 : « mélusine reloaded » figure dans la première sélection du prix Wepler :
Voir : https://www.livreshebdo.fr/article/la-selection-du-prix-wepler-fondation-la-poste-2024

PRIX DECEMBRE 2024

2 septembre 2024 : « mélusine reloaded » figure dans la première sélection du prix
Voir : https://www.livreshebdo.fr/article/la-premiere-selection-du-prix-decembre-2024

Presse

Le Télégramme, Alexandre Fillon
14 novembre 2024

« Aussitôt ouvert mélusine reloaded, l’étonnante proposition littéraire de Laure Gauthier, tout juste couronné par le prix du Premier roman, et voilà que l’on se retrouve projeté dans un univers tenant à la fois de la dystopie, de la poésie et de la fable. (…) Singulier en diable, « mélusine reloaded » s’avère une réinvention joyeuse, ludique et moderne. »

Lien vers l’article Le Télégramme

Télérama, Marine Landrot
(n°3904, 6 novembre 2024)

« Mais « la certitude est une angoisse reconvertie, une fusée de reconnaissance qui tente de repousser ses limites », note Laure Gauthier, plaisante narratrice sous cape, infiltrée pour mieux nous désiller. Repousser les limites, l’autrice a une écriture bien musclée pour le faire, dopée à un cocktail de nonchalance et de clairvoyance par elle savamment dosé. Elle propulse Mélusine dans un avenir où « le soir de sa journée se passait comme celui de sa vie et de l’humanité ; elle voyait des beautés à ce qui tombait mais existait ». Avec la traîne d’éternité qu’elle lui a cousue de fils d’or, tous les espoirs de monde meilleur sont permis, ce qui rend ce livre si salutaire. »

Maze, Marie Viguier, « mélusine reloaded. Peau à peau » (2 octobre 2024)
lien : https://maze.fr/2024/10/melusine-reloaded-peau-a-peau/

« Laure Gauthier propose une histoire de la tactilité plutôt que de la superficialité. Mélusine, qui doit composer avec sa « peau fragile » et sa « peau qui serpente », cherche à penser un autre monde. Comment inverser la tendance d’une société taillée à la manière d’une peau de chagrin ? Ne cessant de rétrécir jusqu’à disparaître ? En révolutionnant la sensibilité, répond Mélusine. En basculant du règle de la vue vers une éthique de l’effleurement.

Ainsi, le monde pourrait devenir un espace ouvert et extensible, il élargirait la surface de l’expérience, d’espoir et de vie. Plus doux, il s’agirait d’inviter à la décélération, à l’écoute du présent et à la célébration de l’amour. « L’amour (…) est l’intention touchante et désintéressée d’un manteau commun pour deux. Si chacun n’y perd pas ses aiguilles ni ses fibres, il est haut en couleur. Parfois, aimer est faire peau commune avec le monde. »

Mélusine devient, dans ce texte, femme politique et entrepreneuse dans le bâtiment. Elle met en lumière la nécessaire politisation de la distribution, très concrète, de l’espace et du temps. Elle se lance ainsi dans un programme qui ne vise pas un passé fantasmé mais bien plutôt l’inattendu. Elle désire produire les conditions pour ‘des vies à la fois plus mouvementées et plus lentes ‘. Figure de bâtisseuse, elle lance de grands projets de construction. »

 

Diacritik, Véronique Pittolo, « Une rentrée nietzschéenne et dystopique : Laure Gauthier, Christophe Fiat, Patrick Wotling » (19 septembre 2024)

Une rentrée nietzschéenne et dystopique : Laure Gauthier, Christophe Fiat, Patrick Wotling

« Le livre de Laure Gauthier, roman inattendu, absorbe le savoir-faire lyrique et poétique de son autrice. Le mythe féminin de Mélusine est revisité, littéralement « rechargé », pour rappeler que nous vivons dans une société qui dépend des algorithmes et des acronymes. Connectés en permanence aux gadgets numériques (smartphones mais pas seulement), nous ignorons qu’un jour peut-être, peut-être pas si lointain, nous serons définitivement « débranchés ». Dans une prose délicate, l’autrice spécule sur les potentialités d’un univers post-capitaliste parasité par le code et les identifiants. Les comportements de chacun sont devenus les réflexes de tout le monde, chaque désir, décision, étant téléguidé. La base étalon de cette humanité dystopique, réduite au sous-groupe des Touristes Traversants, indique le degré de zombification d’individus qui errent de selfie en selfie. Dans cette fable charmante et grinçante, l’hypertechnologie commence à connaître des défaillances : ‘La bande son du monde dépérissait sans que personne ne le déplore… Mélusine rassembla ses forces murmurantes. Elle se dit qu’elle était mélusine, la femme entre deux eaux, et qu’il lui fallait accepter et tenter l’impossible. Que derrière ces regards précaires, elle saurait imaginer un mouvement possible, sans se cacher’. »

 

Chloé Brendlé, « Mélusine reloaded de Laure Gauthier », septembre 2024. Le Matricule des Anges n°256
Lien : https://www.lmda.net/auteur_laure-gauthier

Extrait :
« Affûtée, la fable de Laure Gauthier constitue aussi un éloge du vif et du furtif que ne renierait pas Damasio, mais qui s’affirme en mode mineur. Fluidité, mystère et attention sont les qualités revendiquées par une fée réelle mais tout sauf réactionnaire. Cela passe par une langue apparemment simple, discrètement maillée de vers blands, au lyrisme contenu, une langue qui dé-fige certains mots et oscille entre le verbe et l’adjectif comme pour redonner goût au présent. »

Jean-Philippe Cazier, « Laure Gauthier, une célébration : mélusine reloaded », in : Diacritik, 9 septembre 2024
Lien : https://diacritik.com/2024/09/09/laure-gauthier-une-celebration-melusine-reloaded/?fbclid=IwY2xjawFRf4NleHRuA2FlbQIxMQABHSxkSqzypPsUBnQHN_HwOv55UMgNwE-RTXpil7xtyUKlO5noyvZv5YeYOA_aem_KNAylVdLySynqHijYjTvPg

Extrait :
« On retrouve ici les éléments et la fonction du récit dystopique compris comme un moyen de mettre en évidence et de critiquer la réalité contemporaine, réalité qui, dans mélusine relaoded, est aussi bien politique qu’économique, psychique, industrielle, écologique, culturelle… Cependant, dans l’organisation du récit, cette logique de la fiction dystopique est reprise et subvertie par une autre logique, celle du conte merveilleux et du récit fantastique. Avec l’apparition de mélusine, c’est un personnage de conte qui s’introduit dans le récit dystopique et dans le monde du pouvoir totalitaire : la subversion n’est pas uniquement politique, elle est aussi littéraire. Hybrider la dystopie avec le conte et le récit fantastique produit une subversion du monde qui est représenté mais aussi du genre littéraire. Avec l’apparition de mélusine, la parole du mythe apparaît, la parole du merveilleux, une parole obscure et hantée, plurielle – puisque le mythe et le conte sont des discours repris, répétés, transmis –, qui envahit et subvertit le récit dystopique et en dépasse, ou en déplace, les limites. C’est comme un virus introduit dans la matrice, une opération de piratage : le texte produit la capture d’un code par un autre code qui l’intègre et le transforme, il produit une hybridation créatrice d’un texte, donc, hybride, non simple, ambigu, difficilement réductible – un texte-mélusine, mobile, changeant, étrange, mystérieux… (et, dans le livre, écrire, l’écriture, est l’activité des êtres hybrides). »

Ou encore :

« Dans le livre de Laure Gauthier, mélusine serait le signe de la vie comme événement, de l’événement de la vie qui arrive selon des formes variables, plurielles, mais qui effectuent toujours la vie la plus vivante, à savoir le devenir. Mélusine chante une célébration du devenir. »

Christian Rosset, « Brocante, mélusine retrouvée », pour Diacritik, le 4 septembre 2024
Lien : https://diacritik.com/2024/09/04/terrain-vague-20-brocante-dete-melusine-retrouvee/

Extrait :
« Le monde de Mélusine, une fois « reloaded » – relancé, comme on relance les dés, au présent – crée un formidable battement, côté émotions : tire profit de toutes contradictions, et mine de rien réfléchit, non à tirer une « morale » comme le ferait une fable, mais à faire surgir une clarté nouvelle, après avoir frayé à même la peau du monde. »

Jean-Claude Vantroyen, « La rentrée littéraire est en guerre », pour Le Soir, le 28 août 2024
Lien : https://www.lesoir.be/618685/article/2024-08-28/la-rentree-litteraire-est-en-guerre

Léon Pradeau, « Laure Gauthier. Une fée dans la matrice », Sur Zone Critique, le 30 août 2024
Lien : https://zone-critique.com/critiques/laure-gauthier-une-fee-dans-la-matrice/

Extrait :
« Mélusine, héroïne « hybride », mi femme-mi serpent, mi fée-mi politicienne, fait face à un monde d’acronymes où les « touristes traversants (TT) », friand·es de spectacle, devenu·es l’espèce privilégiée du monde, ne se soucient plus de vivre directement. Leur mode de vie est fait de tours guidés et de selfies, sous l’égide du Comité de l’Image d’Épinal (CIE). Les premiers chapitres sont les plus acerbes : Laure Gauthier nous installe dans le paysage ironique, parfois outré, de ce que pourraient devenir nos sociétés spectaclistes. Mais ce ton-là laisse ensuite la place à plus de légèreté et de douceur : Mélusine reloaded est un roman, mais aussi une fable poétique où Mélusine nous propose de nouvelles façons d’habiter le monde. »

Alain Nicolas, « mélusine reloaded de Laure Gauthier, une plongée féminine dans la matrice », pour l’Humanité, 23 août 2024
Lien : https://www.humanite.fr/culture-et-savoir/ecologie/melusine-reloaded-de-laure-gauthier-une-plongee-feministe-dans-la-matrice

Extrait :
« Le projet de Laure Gauthier n’est pas une simple réécriture de la légende de Mélusine. Dans le titre même, « reloaded », « clin d’œil appuyé à la science-fiction », l’indique éloquemment. « Je me suis évidemment inspirée de Matrix Reloaded et du premier Matrix. J’ai toujours aimé cette idée de ce monde de faux-semblants dans le monde, où on est mangé dans une matrice que la plupart des gens ne voient pas, ”matrixé”, dominé par un système. » L’originalité du livre de Laure Gauthier tient à l’articulation de l’imaginaire le plus contemporain aux éléments du passé, de la SF aux contes médiévaux. »

Raphaëlle Leyris, « Rentrée littéraire 2024 », dans le Monde, le 15 août 2024
Lien : https://www.lemonde.fr/livres/article/2024/08/15/rentree-litteraire-2024-top-depart_6281423_3260.html

Radio et Podcast

31.08.24 « mélusine reloaded » dans l’Almanach de l’étrange (France culture)

« mélusine reloaded » dans l’Almanach de l’étrange (France culture)

Hier soir, Céline du Chéné a retracé la légende médiévale de Mélusine, ses réapparitions au cours des siècles dans l’art et la littérature, jusqu’à sa dernière mue dans « mélusine reloaded » de Laure Gauthier : « La figure de Mélusine est d’une immense richesse. Elle permet d’incarner la rencontre du réel et du surnaturel, l’hybridation humain-animal, l’androgyne originelle, femme à la queue toute phallique. Elle est aussi devenue à partir du XXe siècle, à l’instar des sorcières, une figure féministe, incarnation de la bâtisseuse et de la puissance du lignage, ou même de la conciliation entre féminité et maternité. […] « Mélusine reloaded » de Laure Gauthier propose une nouvelle mue de la fée, ici écologiste, féministe et révolutionnaire. »

C’était sur France culture, dans « l’almanach de l’étrange », au sein des Mauvais Genres – France Culture de François Angelier, réalisé par Laurent Paulré.

12.05.24 Podcast « mélusine reloaded » (musique de Olivier Mellano)

Le podcast « mélusine reloaded » est proposé pour la rentrée littéraire 2024, le C.D.E. (Centre de Diffusion de l’Edition).

Dans ce roman, à la fois fable féministe, dystopie écologique et conte futuriste, Laure Gauthier réinvente la légende de la fée hybride pour dresser, avec humour et profondeur, un miroir déformant de notre monde tout en esquissant un autre chemin possible.

Version en ligne

Lectures

08.11.24 Laure Gauthier invitée pour « mélusine reloaded » au Banquet d’Automne de Lagrasse

Laure Gauthier (« mélusine reloaded », Corti) est invitée avec Sabrina Calvo (« Les Nuits sans Kim Sauvage », La Volte)  pour réfléchir aux littératures de l’imaginaire.

En cette rentrée littéraire 2024, de nombreux ouvrages relevant des «littératures de l’imaginaire», autrement dit des genres de la science-fiction, de la fantasy ou du fantastique vont paraître chez des éditeurs de littérature généraliste, étant écrit par des auteurs et autrices n’ayant jusqu’alors jamais publié de livres de « ? genre ? ». Comment analyser ce phénomène ? Faut-il y voir une acceptation des littératures de l’imaginaire, enfin considérées comme « légitimes » ? Est-ce un reflet de la culture post-moderne dont l’une des caractéristiques est justement d’absorber les contre-cultures ou formes d’expression populaires et jouer avec leurs codes ? Faut-il y lire au contraire une nécessité pour les auteurs d’aujourd’hui de « sortir du réel » pour mieux raconter un présent bouché, d’envisager l’avenir à travers des récits d’anticipation pour créer de nouveaux imaginaires collectifs et dépasser l’angoisse du présent ? Quelles possibilités formelles ou narratives s’ouvrent dès lors que la littérature n’a plus à être plausible pour être reconnue ?

Date : 8 novembre 2024. 15h30
Lieu : Abbaye de Lagrasse, 4 Rive gauche, 11220 LAGRASSE

Site : https://www.tourisme-corbieres-minervois.com/agenda/banquet-dautomne-sf-fantasy-hybridations-litteraires-et-melange-des-genres-2/

13.11.24 Melusine reloaded à la Maison de la poésie, Laure Gauthier et Olivier Mellano

Laure Gauthier sera accompagnée par le musicien Olivier Mellano pour la lecture de « mélusine reloaeded » (Editions Corti) à la Maison de la poésie.

Site : https://maisondelapoesieparis.com/programme/laure-gauthier-melusine-reloaded/
Date : 13.11.2024 à 20h30
Lieu : Passage Moliėre. 157, rue Saint-Martin – 75003 Paris

17.10.24 Laure Gauthier en duo avec Serge Teyssot-Gay au Festival MULTIPISTE

Le Festival « Multipiste : textes musiques expériences » fête ses cinq ans à l’Inconnue à Talence. Laure Gauthier performera « désir de nuages » (Les corps caverneux, LansKine, 2022) avec le guitariste Serge Teyssot-Gay, puis des extraits de « mélusine reloaded » (Corti, 2024) serviront de point de départ à un set fusion singulier avec six artistes sur scène : Serge Teyssot-Gay, Laure Gauthier, Antoine Reynaud, Frédéric Desmesure, Mathias Pontevia et Didier Vergnaud.

Site : https://linconnue.fr/event/multipiste-festival/
Date : 17.10.2024 à 19h30
Lieu : L’Inconnue, Parc Chantecler, 181, rue François Boucher, 33400 Talence.

Crédit Photos @ Bertrand Lafarge 

05.10.24 Laure Gauthier au Festival Actoral (Marseille)

Le festival Actoral et la librairie Histoire de l’œil s’associent pour inviter les Éditions Corti et trois auteurs et autrices dont les livres ont paru cette année : Laure Gauthier pour « mélusine reloaded », Gabriel Gauthier pour « Space » et Adrien Lafille pour « Le feu extérieur ».

Site : https://www.actoral.org/agenda/lectures-histoire-de-l-oeil-corti
Horaires : Samedi 5 octobre 2024 à 16h, 25 rue Fontange à Marseille
Lieu : Librairie l’Histoire de l’œil

28.09.24 Laure Gauthier invitée pour « mélusine reloaded » au Plus petit salon du livre de Paris

28.09.24 Lecture « mélusine reloaded » à la toute petite librairie

A l’invitation de Clémence Alméras, Laure Gauthier participera à l’occasion de la sortie de « mélusine reloaded » à une table ronde « Les mythes, voie rapide vers le réel » dans le cadre du Plus petit salon du livre de Paris 2024 à 15h aux côtés de Lucie Baratte, de Paolo Bellomo et de Laurine Roux. La table ronde sera modérée par Sandrine Gulbenkian.

Site : https://www.latoutepetitelibrairie.fr/

Date : 28.09.24 à 15h
Lieu : La toute petite librairie, 2, rue Etienne Marey, Paris 20e

04.05.24 Laure Gauthier lit au festival EXPOESIE à Paris

Laure Gauthier est invitée à lire à l’Ours et la vieille Grille dans le cadre du Festival Expoésie ( 3 et 4 mai 2024) et à l’occasion de la sortie de la revue Ouste (n°32).

Date : 04 05 2024. Lieu : L’ours et la vieille grille, 9, rue Larrey, 75015 Paris

16.11.23 Lecture-concert de Laure Gauthier à la Maison Julien Gracq

« Pendant dix ans, de nombreux auteurs et autrices ont été accueillis régulièrement à la Maison Julien Gracq pour travailler leur projet littéraire. Parmi eux, Laure Gauthier, Christophe Manon et Laurence Vilaine sont de retour pour une lecture performée en dialogue avec le guitariste Nicolas Lafourest, à l’énergie brute et impulsive, dans ce lieu inspirant. » – Scènes de pays, partenaire.

Horaires : jeudi 16 novembre 2023 de 20h30 à 21h30
Tarif : entrée payante, réservation possible sur le site scenesdepays.fr
Lieu : Maison Julien Gracq, 1, rue du grenier à sel, Saint-Florent-le-Vieil, 49419 Mauges-sur-Loire

Voir l’évènement sur Pays de la Loire

Visiter le site de la Maison Julien Gracq